Les sources naturelles d’ions négatifs (favorables) sont les orages, la fonction chlorophyllienne, les rayons UV, la radioactivité des sols granitiques, le vent dans les chaos de roches présentant des arêtes vives, les forêts de conifères (c’est la « triboélectricité », où l’air s’ionise en se frottant sur les pointes), les cascades et les torrents (effet Lenard, où l’eau est violemment choquée, ajouté à un effet de barbotage), les volcans en éruption. Hélas, on trouve au moins 8 000 ions négatifs au centimètre cube en haute montagne, 4 000 en mer, 3 000 en forêt, 1 200 en campagne verte, 200 en ville, 20 au bureau et 14… en voiture.
Les principales causes d’ionisation positive toxique sont en grande partie tous les appareils électroménagers, les systèmes informatiques et écrans cathodiques en général, les appareils de communication sans fil, les revêtements de sol (sauf terre battue, bois et pierre), les revêtements muraux et rideaux en fibres synthétiques, le tabac, le chauffage électrique, l’air conditionné, les pollutions atmosphériques diverses, les éclairages type néon, etc. Difficile d’échapper à tout ceci ! Or, s’il est encore mal démontré que bien des troubles de santé sont liés, entre autres causes, bien entendu, à ces surcharges, il est clairement prouvé qu’ils sont améliorés par une négativation de l’air ambiant via un petit appareil (ioniseur d’appartement, ou lampe à sel de l'Himalaya).
Selon les recherches du Pr Métadier 26, c’est en particulier le cas pour des troubles de la sphère neuropsychique qui nous intéresse ici : insomnies, fatigue chronique, anxiété, dépression, inappétence, troubles de la libido, spasmophilie, asthme.
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