Origines environnementales de l'insomnie

Un milieu non-cohérent


La croissance des cellules dans l'organisme placé dans un milieu approximativement uniforme se développe quasi normalement. Si ce même organisme est placé dans un milieu non-cohérent, c'est-à-dire soumis à des rayonnements nocifs, la croissance de ces cellules n'est plus uniforme, car ces radiations engendrent des perturbations vibratoires dans la vie des cellules et des glandes, et occasionnent un dérèglement tissulaire et glandulaire.

Souvent ces phénomènes se traduisent par des malaises et des insomnies : c'est le premier stade, celui durant lequel l'organisme s'affaiblit et s'épuise. Cette fatigue, qui va avoir tendance à devenir chronique, se traduit souvent par une perturbation du système nerveux, qui est en quelque sorte " la sonnette d'alarme ". Les prédispositions aux maladies sont alors amplifiées, et c'est souvent l'organe le plus faible qui cède le premier. 

Compte tenu de cela, il faut à tout prix éviter de dormir dans des lieux dits géopathogènes, et surtout à la verticale d'un ou de plusieurs croisements de perturbations électromagnétiques.


 

 

Les perturbations électromagnétiques

Ondes antennes pollution geomagnetique

L'effet des perturbations électromagnétiques sur l'homme a fait l'objet d'études très poussées notamment de la part du professeur Herbert L. KOENIG, docteur-ingénieur, titulaire de la chaire d'électrophysique à l'Université technique de Munich, dont le livre Unsichtbare Umwelt (L'environnement invisible), passe pour très avancé dans ce domaine.

De plus les différentes études sur l'exposition des riverains par des antennes relais soulignent l'importance des effets biologiques, fatigue, maux de tête, perturbations du sommeil, irritabilité, difficultés de concentration. 

Dans le cas d'installations mal isolées ou trop puissantes, l'action des champs électromagnétiques à travers l'habitat peut provoquer à la longue des malaises, une prédisposition aux états infectieux, une mauvaise circulation sanguine, des insomnies et des douleurs musculaires. Cette interaction consume les réserves de régulation de nos organismes et les prédispose à ce qu'on appelle "les maladies de civilisation", ceci par électrocution lente ou par effet d'induction des fréquences qui, d'une façon chaotique, dominent notre milieu.


 

 

Le stress géopathique


Dans certains cas, il est possible que les problèmes de sommeil, de relations ou de fatigue viennent de l’habitation : des énergies telluriques déséquilibrées, des failles, des nappes d’eau, des points d’énergies négatives, noeuds du réseau Hartmann, des mémoires... 

Le stress géopathique désigne les effets néfastes de champs naturels et artificiels, et du rayonnement de champs physiques et subtils. La recherche scientifique soutient l’existence du stress géopathique, en confirmant que l’exposition constante ou extrême des êtres vivants à des facteurs de stress géopathique peut entraîner chez eux des conséquences bénignes ou graves. Ces problèmes consistent généralement en

  • douleurs corporelles
  • fatigue chronique
  • insomnie
  • troubles cardiovasculaires
  • irritabilité
  • difficultés d’apprentissage
  • stérilité et fausse couche
  • problèmes de comportement chez les enfants
  • cancer et troubles autoimmuns

     

 

Les radio-fréquences


L’étude des effets précis des radiofréquences sur la santé humaine, et notamment des hyperfréquences (ordre de grandeur du gigahertz, c’est le cas du GSM, du radar, du four à micro-ondes) est ardue pour les raisons suivantes :

  • Les différentes pollutions sont en interrelation et se potentialisent mutuellement.
  • Des doses minimes voire infimes peuvent perturber l’organisme humain.
  • Les réactions humaines varient d’un individu à l’autre en fonction de multiples variables et cofacteurs.

Les normes actuelles font débat au regard du principe de précaution. Les risques pour la santé sont toutefois connus : ils vont de l’insomnie à l’arrêt cardiaque en passant par la cécité, les maladies neurodégénératives et le vieillissement précoce. La majorité des fonctions physiologiques peuvent être affectées par les hyperfréquences.


 

 

L'Environnement sonore


L'enquête logement de 2002 de l'INSEE met en évidence qu'un ménage sur deux (en ville) considère que le bruit est une nuisance aussi importante que la pollution de l'air. L'environnement sonore a un impact profond sur l'organisme même si psychologiquement la personne s'adapte au bruit, physiologiquement le corps ne s'adapte pas avec des répercussions sur le rythme cardiaque et respiratoire.

Les caractéristiques du bruit :
· La fréquence est mesurée en Hertz (nombre d'oscillations par seconde). 
· L'oreille humaine est capable d'entendre une gamme de sons, du très grave (20 Hz) au très aigu (20 000 Hz).

Les fréquences non perceptibles par l'oreille sont :
- Les infrasons (fréquences < 20 Hz)
- Les ultrasons (fréquences > 20 000 Hz)
· L'intensité permet de classifier les différents sons. Le dB (Décibel) est une échelle logarithmique et le dB (A) qui introduit une pondération physilogique en mesurant la sensation réelle de l'oreille exprimer en décibels acoustiques. 
· La durée d'un bruit est un élément déterminant dans sa perception. Son intensité peut fluctuer dans le temps. Une seule mesure ne suffit pas pour évaluer le niveau du bruit. Afin de définir le niveau continu et quantifier la dose de bruit perçu pendant un temps donnée on a instauré une mesure exprimée en Lden (somme pondérée des LEQ jour, soirée, nuit : intensité moyenne).

L'échelle des décibels est une échelle logarithmique :
· Une machine à laver (70 dB) + un sèche linge (60dB) = 70 dB
· Une chaîne stéréo (60dB) + une télévision (60dB) = 63 dB
Lorsque l'on additionne deux bruits de même intensité, le son augmente de 3 dB.
C'est la même chose pour la multiplication (60 dB x2 = 63 dB). L'intensité sonore x 10 (60dB x10 = 70dB) soit 10 dB de plus.

On classifie le bruit en plusieurs types :
· Les bruits aériens extérieurs : rue, trafic routier, chantier, usine, gare, aéroport.
· Les bruits aériens intérieurs : la conversation, la télévision, le poste radio du voisin. Et bruits de chocs : Bruit de pas, chutes d'objets.
· Les bruits d'équipement : générés par des équipement collectifs (VMC, ascenseurs, vide ordure, porte de garage, chaudières...) ou de vos propres équipements (robinetterie, ventilation, chasse d'eau...).


 

 

Les effets du bruit


Au-delà des troubles auditifs, le bruit ne provoque pas de maladies spécifiques mais il induit des effets psychologiques et physiologiques (comportement social, problème de communication).

  • Le bruit détériore l'oreille. Les cellules de l'oreille une fois atteintes, ne se régénère pas (fréquences aigues 4000Kz).
  • Le bruit stresse l'organisme, accélération du rythme cardiaque, constriction des vaisseaux, augmentation de la tension artérielle. Ensemble d'effets qui agissent sur le système cardio-vasculaire.
  • Le bruit perturbe le sommeil : réveils fréquent, difficultés d'endormissement, dégradation de la qualité du sommeil.
  • Le bruit modifie la vision : rétrécissement du champ visuel, dilatation de la pupille, altération profonde de la vision nocturne.

Physiologiquement le corps ne s'adapte pas et reste perturbé par le bruit (même pendant le sommeil) en entraînant des modifications des rythmes cardiaque et respiratoire, même si psychologiquement l'adaptation au bruit est possible.


 

 

La répartition des masses métalliques


La répartition des masses métalliques et ferromagnétiques dans le voisinage des chambres à coucher nécessite certaines précautions afin de ne pas focaliser les pollutions d'origine géophysique.

Ceci concerne surtout les appareillages lourds, installés dans les caves, à la verticale des chambres et des lits. Ces appareillages, chaudières, machines-outils, cuves à combustible, gros réfrigérateurs, coffres-forts, stock de pièces détachées métalliques, ont une incidence sur le comportement de la grille du "réseau H" qui s'en trouve déformée. Ces "masses" ferromagnétiques attirent ou repoussent localement "les murs invisibles" et, selon les circonstances, peuvent les concentrer sur un espace très réduit, au point de saturer des zones de sommeil.
Déplacer un appareillage de 50 cm à un mètre suffit parfois pour voir se reconstituer à l'aplomb le quadrillage régulier et pour libérer les zones neutres.

Les voitures dans les garages, comme les autres masses ferromagnétiques, ont la particularité de déplacer d'un mètre environ la résille globale. Du fait de la position variable du véhicule, le repérage des zones neutres à l'aplomb devient difficile. En dehors du fait de la masse métallique importante de la voiture, on ne sait encore exactement si celle-ci ne crée pas d'autres phénomènes perturbants encore mal connus à l'heure actuelle. Curieusement, les déformations de la résille sont plus ou moins accentuées selon le type de véhicule en présence (interaction des différentes masses magnétiques à l'intérieur du véhicule?).

Sans rejeter pour autant les acquis de notre civilisation, qui ne présentent pas que des inconvénients, bien heureusement, on peut comprendre aisément pourquoi il est recommandé d'éviter de placer les chambres à coucher au-dessus des garages et de concentrer les zones techniques: caves, laverie, chaufferie, dans les parties "jour" de la
construction, et au nord si possible pour créer un espace tampon du point de vue thermique.


 

 

L'assainissement de l'habitation


En ce qui concerne l'assainissement de l'habitation par l'évacuation des eaux usées et des eaux vannes (toilettes), il faut veiller à ce que l'écoulement ne s'effectue pas à l'aplomb des zones de sommeil: les ondes bactériennes issues des dépôts organiques le long des tuyauteries sont véhiculées par les rayons porteurs du "réseau H" ou les émanations de l'eau souterraine.


 

 

Les énergies stagnantes


De la même manière, il est important que l’espace soit purifié au niveau énergétique. L’énergie résiduelle a tendance à se fixer dans les endroits où l’énergie circule mal, comme c’est le cas dans les coins des pièces par exemple. De la même manière, elle a tendance à imprégner tous les objets de l’environnement, qu’il s’agisse de bijoux, de livres, de minéraux, de meubles etc… Tous les objets ne possèdent pas les mêmes capacités d’absorption (et surtout de stockage) ce qui explique que l’on ressente généralement beaucoup moins les charges résiduelles dans un meuble en bois que dans un cristal par exemple, mais les effets sont tout aussi indésirables.

 Les conséquences sur la personne sont nombreuses : fatigue chronique, irritabilité, mal-être, cauchemars, insomnies, déprime etc… La présence d’énergies négatives résiduelles est généralement propice à attirer des entités des « plans inférieurs », les plus courantes étant bien entendu les larves, qui ont tendance à évoluer dans des milieux énergétiques lourds et qui seront ravies de vampiriser l’énergie du praticien.


 

 

Conséquences de l’instabilité climatique

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Les troubles qui surviennent à l’arrivée du printemps se sont souvent préparés depuis le solstice d’hiver. Le problème est compliqué par le fait qu’on entre dans le printemps avec un excès de chaleur. En effet, on a souvent lutté contre le froid de l’hiver en chauffant excessivement les maisons, en se couvrant trop et en mangeant trop riche et trop chaud.

Troubles du Yin et Yang entre intérieur et extérieur :

• Yang protège l’extérieur. S’il est vide, l’extérieur manquant de Yang devient donc froid. C’est la frilosité des sujets asthéniques.

• Yin nourrit l’intérieur. S’il est déficient, l’intérieur n’exprime plus que l’activité et la chaleur du Yang. Ainsi apparaissent inflammation des viscères ou agitation mentale. L’insomnie du vieillard qui est physiologiquement en vide de Yin en donne un exemple.


 

L'aménagement intérieur


De nombreuses questions se posent sur l'aménagement intérieur des habitations et principalement des chambres à coucher. À l'instar des instituts de RFA, l'Institut de recherches en géobiologie de Chardonne fournit, de manière succincte mais suffisamment détaillée pour être compréhensible, des observations médicales relatives aux positions inconfortables des malades par rapport au "réseau H" et aux zones pathogènes.

Est-ce le résultat d'habitudes de vie toujours les mêmes : lit contre un mur ou dans un angle, à la même place; les dimensions de chambre sont elles trop réduites; y a-t-il un manque de précautions dans la conception des pièces favorisant une rigidité de l'espace disponible? Les influences sont là et semblent ne pas nous épargner.

La literie n'est pas systématiquement mise en cause, car nombre de ces constats ont été effectués sur des lits de nature différente, des matelas de mousse, de laine, des sommiers métalliques ou à lattes de bois, en passant par les traditionnels bois de lit. Si la literie peut avoir une influence sur la qualité du sommeil, les troubles occasionnés (douleurs lombaires) ne sont pas en rapport avec ce que l'on observe généralement sur les noeuds géopathogènes.


 

 

La chambre

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Il est aussi important d’investir dans une bonne literie, de bons oreillers, une lumière tamisée, une pièce suffisamment et régulièrement aérée : la chambre doit être calme et la température pas trop élevée.

Conditions de sommeil inadéquates : bruit, lumière, chaleur, trop grande luminosité.

De plus les élément suivant sont à prendre en compte : 

  • Pièce de forme irrégulière : une telle forme de pièce peut entraîner la confusion et la stagnation, des insomnies et des difficultés conjugales
  • Plafond en pente dans la chambre ou poutre au-dessus du lit : cette situation exerce une pression mentale et physique, et provoque l’insomnie.

  • Chaînes ou étagères à livres intégrées : les lits dans lesquels sont intégrés des étagères, des chaînes ou autres moyens de distraction sont à déconseiller. Ces lits sont généralement grands et lourds, et leur structure s’élève au-dessus du dormeur. Leurs étagères et leurs cellules de rangement attirent le fouillis. Ils laissent fréquemment un espace derrière la tête du dormeur (comme le font les étagères à livres placées derrière un lit), ce qui peut entraîner des insomnies, un sommeil irrégulier ou des cauchemars. Il vaut beaucoup mieux que la tête du dormeur soit près du mur ou d’une tête de lit pleine.

  • Orientation du lit : nous ne devons pas orienter notre lit n’importe comment. Cette orientation se définit par l’utilisation des points cardinaux selon le champ magnétique de la terre. Car ce sont bien évidemment les ondes magnétiques qui influent en bien ou en mal sur notre être tout entier.

  • L’électricité dans la chambre : l’idéal serait de disposer d’un vaste espace libre autour du lit, mais c’est rarement possible, à moins d’avoir la chance de posséder un vaste appartement. Néanmoins, Ces appareils sont susceptibles de perturber votre sommeil : 

    • télévision
    • lampes de chevet,
    • chaîne hi-fi
    • Jeux électroniques
    • ordinateur
    • téléphone portable
    • radio-réveil électrique

 

 

L'incidence du cadre de vie


De nombreux médecins, alertés par l'inopérante de certains traitements, surtout dans les maladies chroniques, ont convié eux-mêmes leurs patients à prendre en compte l'incidence du cadre de vie. Si une fois le lit déplacé, le patient retrouve le sommeil et le bien-être, cet indice suffit au médecin averti pour intégrer ces données dans les difficultés rencontrées par son client.

La situation se complique pour les lits de couples: on peut observer un transfert d'influences, du plus fort au plus faible et, même si le flux perturbateur est situé sur la personne la plus résistante, l'autre peut subir indirectement les conséquences du transfert, par une interaction inconsciente. Il faut donc dans cette circonstance, trouver une zone neutre pour les deux personnes ou se résoudre à dormir seul. Ainsi, déplacer un lit ne pose pas de grandes difficultés en soi, mais au-delà de quelques centimètres, on se heurte aux autres meubles, aux portes et aux fenêtres, etc. Si l'on découvre que le seul emplacement favorable se situe au milieu de la chambre, quel dilemme: bien dormir ou préserver l'esthétique du décor ?


 

 

L'orientation des maisons et des lits


L'orientation des lits est un sujet vieux comme le monde. Dans l'ensemble, les individus se sentent instinctivement mieux en dormant la tête au nord et les pieds au sud. Mais, à voir le nombre de lits placés dans une orientation différente, on s'aperçoit que l'effet produit par les différentes orientations possibles ne semble pas être si marqué. En fait, les nombreuses déviations locales du champ magnétique terrestre modifient le schéma initial. En outre, la pollution électrique entraîne nécessairement des perturbations électromagnétiques dont les effets sont plus intenses sur l'être humain que ceux du champ magnétique terrestre. S'il n'y a pas de différence notable au niveau des maladies entre les personnes orientées nord-sud ou est-ouest, sur un noeud pathogène du "réseau H", par contre, les murs invisibles nord-sud sont souvent ressentis sous forme de crampes et les passages est-ouest pendant le sommeil sous forme d'allergies ou de troubles inflammatoires.

Au centre du sommeil de Berkeley (USA), l'expérience du lit tournant montre que la pression artérielle est au minimum lorsque la tête est au nord et - d'après les hypnogrammes - la profondeur du sommeil est plus grande que dans les autres orientations. Reste à savoir si nous sommes plus sensibles aux effets de l'orient (lever du soleil), qu'à la direction nord/sud.

Par la position des noeuds et l'emplacement des lits, il est possible d'indiquer avec précision l'endroit du corps où le dormeur risque d'être affecté pendant le sommeil. Mais pourquoi l'emplacement du lit aurait-il tant d'importance? Au cours d'une vie, nous passons en moyenne 20 à 25 ans dans un lit: le corps de l'individu reste allongé généralement à la même place et, souvent, pendant des années. Pendant son sommeil, il perd environ les deux tiers de sa résistance de l'état d'éveil. Le bombardement plus ou moins faible par le rayonnement cumulé à l'endroit d'un noeud suffit, au bout de quelque temps, à perturber l'organe exposé.


 

 

Le pouvoir des couleurs

Chambre mur rouge fonce

Une couleur est soit stimulante, soit apaisante. Tout dépend de son intensité chromatique. Si la couleur est saturée, elle est probablement stimulante, et si elle a une faible saturation, elle est probablement apaisante.

Par exemple, les bleus foncés très saturés stimulent l'esprit tandis que des bleus clairs moins saturés l'apaisent et le calment. Un rouge foncé et dur est physiquement excitant, tandis qu'un rouge doux et clair, proche du rose, est physiquement apaisant et réconfortant. Plus le jaune est soutenu, plus son impact émotionnel est fort. Plus le vert est soutenu, plus nous sentons son pouvoir sur notre équilibre et notre dynamisme.

Attention aux couleurs de votre habitation, quelques soient les pièces, mieux vaut ne pas mélanger les couleurs reposantes au salon et inversement. 


 

D'autres sources de perturbation sont plus discrètes


Les surfaces réfléchissantes, les meubles polis et les grands miroirs peuvent provoquer une excitation du système nerveux, pendant la nuit, lorsqu'ils reflètent des photons (particules de lumière) sur les corps endormis. Ces miroirs ont de curieuses propriétés et ce n'est certainement pas un effet du hasard si certaines pratiques magiques les prennent pour support. Dans les campagnes reculées, le reflet des grands miroirs est encore l'objet de réticences et facteur d'angoisse.

Curieusement, le géorythmogramme d'une personne placée en zone neutre du quadrillage, mais exposée à la réflexion d'un miroir, est semblable à celui d'une personne placée sur un noeud. On peut supposer aussi que les "ondes" émises par le dormeur en état de sommeil profond ou de sommeil paradoxal sont amorties par leur réflexion sur la surface du miroir et amoindrissent la qualité du sommeil. Un remède simple consiste à couvrir les surfaces réfléchissantes, principalement les miroirs, de tentures ou de couvertures épaisses pendant la nuit. Mieux encore est de placer ces miroirs au dos des portes d'un placard ou d'une armoire. En décoration, il est souhaitable de les fixer dans les hall, "dressing" et salle de bains.


 

Les cordons électriques


Les cordons électriques souples ne doivent pas entrer en contact avec la literie, sinon celle-ci se "charge" et se "décharge" sur le dormeur pendant la nuit. Les mousses synthétiques et les ressorts de matelas ne font qu'amplifier ce phénomène. Combien de lits sont "chapeautés" d'appliques fluorescentes et par toute une série d'appareils électriques: réveils, radios, interphones, sonnettes, commutateurs électriques, prises multiples sans que leurs effets secondaires possible aient été pris en considération (insomnies, maux de tête, etc.).

Il est probable que les lignes électriques ne sont pas seulement vectrices d'électrons destinés à l'alimentation de nos appareils, mais favorisent aussi la conduction de fortes impulsions géoatmosphériques et cosmiques, peut-être même celles engendrées ou recueillies par les satellites artificiels. En RFA, les cercles de recherches en géobiologie ont étudié la mise en place de disjoncteurs de fréquences et de limiteurs de tension électrique fonctionnant pendant la nuit dans les chambres à coucher, pour pallier à ces inconvénients. Ces appareils, déjà en service, drainent les surcharges momentanées, des "courants vagabonds".


 

 

Des failles géologiques sous nos lits


Une rupture géologique provient de la séparation ou fente d'une masse rocheuse en deux parties. Si ces deux masses se déplacent l'une par rapport à l'autre, il apparaît une faille. Le déplacement peut avoir lieu horizontalement, donnant naissance à des crevasses, ou verticalement, créant des fissures. Il a été possible d'en mesurer certaines atteignant 1 700 mètres de profondeur. Les plus importantes sont mentionnées sur les cartes géologiques. Les failles détectées sensitivement, mais aussi par les techniques de mesures géophysiques, créent des zones où le champ de rayonnement naturel est perturbé à la surface du sol.

Les géophysiciens américains WILLIAMS et LORENZ, ayant une chambre d'ionisation dans leur véhicule, ont localisé des failles géologiques grâce au rayonnement gamma. L'ionisation produite au dessus de ces failles était 50 fois plus élevée que sur les terrains proches de celles-ci et la boussole indiquait une légère déviation du nord magnétique. Cette augmentation du rayonnement gamma est provoquée par le dépôt de minéraux radioactifs, lors du passage des eaux souterraines au fond des failles, dites failles "humides", et par la remontée des gaz radioactifs concentrés, présents en permanence dans les sols, mais dont le dégazage est facilité par la brèche. Il s'ensuit une ionisation plus forte à la surface du sol. Ce rayonnement gamma se montre trois fois plus intense la nuit que le jour: d'où l'importance de situer son lieu de sommeil en dehors des zones perturbées par les failles.


 

Des pierres chargées

Pierres cristaux lithotherapie

Il se peut que vous ayez autour de vous des pierres « éponges » : galène, tourmaline, obsidienne, shungite, quartz rose et d’autres absorbent les champs. Toutefois, elles se chargent et il faut régulièrement les décharger. Une pierre chargée peut devenir nocive : eczéma, gonflette, insomnie.


 

La positivation de l’air


Les sources naturelles d’ions négatifs (favorables) sont les orages, la fonction chlorophyllienne, les rayons UV, la radioactivité des sols granitiques, le vent dans les chaos de roches présentant des arêtes vives, les forêts de conifères (c’est la « triboélectricité », où l’air s’ionise en se frottant sur les pointes), les cascades et les torrents (effet Lenard, où l’eau est violemment choquée, ajouté à un effet de barbotage), les volcans en éruption. Hélas, on trouve au moins 8 000 ions négatifs au centimètre cube en haute montagne, 4 000 en mer, 3 000 en forêt, 1 200 en campagne verte, 200 en ville, 20 au bureau et 14… en voiture. 

Les principales causes d’ionisation positive toxique sont en grande partie tous les appareils électroménagers, les systèmes informatiques et écrans cathodiques en général, les appareils de communication sans fil, les revêtements de sol (sauf terre battue, bois et pierre), les revêtements muraux et rideaux en fibres synthétiques, le tabac, le chauffage électrique, l’air conditionné, les pollutions atmosphériques diverses, les éclairages type néon, etc. Difficile d’échapper à tout ceci ! Or, s’il est encore mal démontré que bien des troubles de santé sont liés, entre autres causes, bien entendu, à ces surcharges, il est clairement prouvé qu’ils sont améliorés par une négativation de l’air ambiant via un petit appareil (ioniseur d’appartement, ou lampe à sel de l'Himalaya).

Selon les recherches du Pr Métadier 26, c’est en particulier le cas pour des troubles de la sphère neuropsychique qui nous intéresse ici : insomnies, fatigue chronique, anxiété, dépression, inappétence, troubles de la libido, spasmophilie, asthme.


 

 
 

L'ascension planétaire


L’insomnie, l’un des symptômes les plus courants du processus d’ascension, semble affecter presque tout le monde. Et c’est une sorte d’insomnie très étrange. 

Au cours de l’ascension, beaucoup de choses se produisent pour nous à cet égard. Nous changeons beaucoup et nous développons notre conscience. Par conséquent, nous avons parfois besoin d’une pause. Nous avons alors besoin d’être dans la Nouvelle sphère à laquelle nous sommes en train de nous adapter et que nous sommes en train de devenir nous-mêmes.

Nous faisons souvent beaucoup de nos changements et de nos lâchers prises la nuit à l’état de rêve. Il peut se produire beaucoup de choses concernant notre croissance vibratoire et spirituelle pendant que nous dormons.


 

Date de dernière mise à jour : 13/07/2022

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